Le Secret de Ji – Pierre Grimbert

Je suis de retour !

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Et je parle encore tout seul…

Bon, ben ça servira toujours pour motiver les 27 autres à lire ce fichu bouquin !

Ça se passe dans un monde dessiné complètement à l’arrache, le mec qui a fait ça, on se demande s’il a déjà vu une carte du monde dans sa vie, à croire qu’on parle d’un autre monde. Héééééé, mais c’est le cas en fait ! Avec des noms pareils, c’pas très terrien tout ça…

Et ça explique le problème du temps… Ben ouais, ils comptent tout avec des mots en déc : décilles, décanes, décans, décades… Y’a des moments, je me perds complètement !

Revenons à l’histoire, on parle ici d’un groupe de gens représentant les différentes nations de ce monde étrange. Ceux-ci, accompagné d’un certain Nol, vont sur l’île Ji, pour prendre une décision hyper importante et voir un truc super bizarre, mais on sait pas quoi ! Quand ils reviennent, 3 morts et 2 blessés sur les 10 partis sans compter Nol qui n’est pas revenu non plus. Un pourcentage normal pour une orgie…

Au retour, ils se jurent de ne rien dire à personne, va savoir pourquoi, la honte de pas avoir tenu l’alcool peut-être… Bref, arrêtons les mauvaises pensées, je suis sûr qu’ils ont été très sages là-bas.

Après ça, ils décident de se revoir régulièrement (tous les 2 ans environ). On abrège le moment où les mecs se sont fait un peu démolir par les différents pays d’où ils venaient pour pas avoir dit ce qu’ils avaient fait. Tout se passe bien jusque 118 ans plus tard (c’est avec les descendants bien sûr) où un petit incident se produit.

Petit ? Petiiiit ?

Ok, ok, y’a un nettoyage qui se fait.

Nettoyage ?!

Bon, c’est un vrai massacre : sur la petite centaine, 6 malheureux se retrouvent dans la merde car tous leurs copains sont morts.

Ils se réunissent et tentent de comprendre pourquoi ça se passe aussi mal au pays des bisounours (‘fin pas si mignon que ça en fait, y’a des conflits, des guerres, tout ça…).

Ce livre m’a bien plu car il traite beaucoup avec le stress des survivants et comment ils arrivent à vivre malgré tout, comme une petite famille, au milieu des embuches.

Et ils ont des moments où ils hallucinent tellement qu’on dirait qu’ils en ont fumé 3 ou 4 !

Voilà, j’ai fini !

Renversez pas votre chope sur le livre hein !

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